Premier jour:
Sanji venait d'être embauché comme professeur de cuisine dans l'université. Il était impatient de pouvoir enseigner à de jolies étudiantes que sont aires de pervers pris la totalité de ses expressions sur son visage. Il y avait un filet de sang qui sortait de sa narine droite et avait le regard vers le haut. Il était bien sûr, en train d'imaginer plein de choses déplacer et interdit au moins de 16 ans.
Sanji marchait le long du couloir qui menait directement au réfectoire, il était aussi curieux de voir les cuisines et de savoir ce que les jeunes filles (les garçons n'existent pas pour lui et il s'en fout XD) mangeaient bien équilibré et de bonne qualité. Arrivé à la grande porte que les étudiants prenaient tous pour aller manger, il l'ouvrit puis inspecta la pièce, elle était grande, les tables bien espacer, beaucoup de place, il n'y avait pas grand-chose qui clochait pour lui. Il n'y avait personne, car il était encore très tôt pour le repas. Il se dirigea alors vers la cuisine, là par contre ça courait dans tous les sens, les cuisiniers étaient en plein speed. Sanji entra tranquillement et passa entre les postes de plan de travail et jetait un œil.
Puis le chef cuisinier l’aperçut et alla vers lui.
"Excusez-moi, mais les étrangers sont interdits d'entrer en cuisine et surtout en civil. Veuillez quitter les lieux s'il vous plaît"
Le chef était resté correct, mais il voulait le gicler comme une merde, car il avait une réputation assez colérique et irrespectueuse, envers, pratiquement tout le monde. Mais comme il avait deux jours auparavant, s'était fait prendre un avertissement par le directeur, il essayait de se contenir, car au prochain, il serait viré. Il n'y avait que dans cet établissement qui le voulait, c'était donc très dur pour lui de pouvoir trouver un boulot.
Puis il pensait que c'était un inspecteur du travail qui le surveiller, il était devenu un peu mythomane après cette histoire.
Sanji le regarda, il avait l'habitude des chefs brutaux et pas sociable, vu qu'il avait travaillé dans ce style d'ambiance depuis presque 10 ans. Il répondit donc au chef avec une aire très naturelle.
"Désolé, j'étais curieux de savoir comment étaient vos cuisines et les plats que vous servez aux demoiselles de cet établissement."
Puis il continua à avancer comme si de rien était et passa derrière les cuisiniers pour regarder comment ils se débrouillaient. Quant au chef, il crut bien sûr à une inspection, il commençait à se ronger les ongles. Il alla donc vers Sanji d'une aire d'un faux aimable et hypocrite en se frottant les mains.
"Oh, mais faites donc Mr, s'il y a quoique se soit n'hésitez pas à me demander hein..."Une goutte de sueur coula sur sa joue.
Sanji se retourna vers lui.
"Merci bien" Puis se remit à regarder un peu partout.
Là, il tomba sur un jeune commis qui avait vraiment du mal à couper ces légumes. Sanji dans ces habitudes remonta ses manches puis prit le couteau du jeune de la main droite, mais le jeune fut surpris.
"Euh, mais que faites vous, monsieur?"
"Ben, je te montre comment s'y prendre, car vu la manière dont tu t'y prends, tu en as encore pour demain et tu risques de te couper aussi. Donc observe bien, tu ne veux pas que ses charmantes étudiantes mangent trop tard par ta faute."
Il commença alors à couper les légumes, c'était des poireaux qui fallait couper en Julienne. Il était très rapide et d'une très grande précision. Le jeune l'observait avec attention, même celui qui était à côté regarda. En l'espace de quelques secondes, le poireau était taillé d'une grande régularité et parfaitement identique que les jeunes étaient ébahies.
"Whouaaaaaaaaaaaaaaaah"
Sanji planta le couteau sur la planche.
"Tu vois, c'est comme ça qu'il faut s'y prendre, maintenant à toi."
Sanji partit alors vers un autre poste de travail pour regarder. Il n'avait pas grand-chose à faire vue que son premier court ne commencer que le lendemain. Et puis le chef le laisser tranquille à cause d'un malentendu que Sanji utilisa sans se faire prier.